la pêche au coup

une pêche pour tous et a découvrir

posté le 28-08-2008 à 18:40:40

les elastiques

 


 
 
posté le 18-07-2008 à 17:58:41

MONTAGE DE LIGNE AU COUP

 


 
 
posté le 11-07-2008 à 21:39:50

LES VERS

LES VERS DE TERREAU  

On les trouve dans de la tourbe, du terreau, du fumier, ils sont bien rouges, parfois très foncés. 
Tous les poissons aiment cet appât, en toutes saisons. Il craint la chaleur.

Il se conserve dans du terreau, de la tourbe ou de la mousse humide. 

On peut l'utiliser entier pour les gros poissons ou en tronçon pour le gardon, goujon, vairon... 
On l'utilise à la ligne flottante, posée ou en plombée. 

 

LES VERS D'EAU 

On les trouve dans les rivières dans les endroits avec du sable mélangés à de la vase, sous les pierres ou dans les racines des plantes en bordure de l'eau, voir même dans l'eau.

Il se conserve dans un seau d'eau, avec de la vase ou du sable dans le fond, il craint fortement la chaleur.

Tous les poissons sont friands de ce ver.
On l'utilise à la ligne flottante, posée ou en plombée. 

 

LES VERS DE TERRE OU LOMBRICS 

On le trouve partout, celui qui me dit qu'il n'en trouve pas c'est qu'il n'a pas chercher, certes à certain endroit on en trouve moins qu'à d'autres mais on en trouve toujours, sauf quand il fait trop chaud, ou trop froid.

Il se conserve dans de la terre, de la tourbe, du terreau ou de la mousse humide et au frais. 

On peut l'utiliser entier pour les gros poissons ou en tronçon pour le gardon, goujon, vairon... 
On l'utilise à la ligne flottante, posée ou en plombée. 

 


 
 
posté le 11-07-2008 à 21:32:41

LA BREME

Abramis Brama – Linné, 1758 Famille des Cyprinidés

Description

Le corps très aplati latéralement et bossu en arrière de la tête est recouvert de grandes écailles et d’un épais mucus. La tête, relativement petite par rapport au corps, se termine par une bouche protractile, qui s’étire en forme de tube permettant à la brème de fouiller le sédiment et d’aspirer sa nourriture. La bouche est dépourvue de barbillons.
La nageoire dorsale assez courte, seulement 12 rayons, prend place vers le milieu du corps. L’anale est longue, elle comprend de 25 à 30 rayons, tandis que la caudale possède des lobes inégaux. Toutes les nageoires sont pointues, de couleur gris-bleu. Le corps quant à lui vert-bronze sur le dos, s’éclaircit sur les flancs.



Habitat et mœurs

De l’estuaire des grands fleuves jusqu’aux rivières de faible altitude, en passant par les eaux closes, la brème prolifère. C’est sur des fonds meubles, légèrement recouverts de vase, qu’elle se plaît le mieux.
Poissons grégaires, les brèmes se déplacent en bancs serrés, composés d’individus de même taille. Au printemps, elles sont attirées par les anses peu profondes où elles s’en donnent à cœur joie à dévorer les jeunes pousses des végétaux aquatiques. Avec l’arrivée des beaux jours, elles se dirigent dans les courants. En automne, lors de la montée des eaux, les brèmes mettent les bouchées doubles afin d’emmagasiner un maximum d’énergie avant les grands froids. En hiver, elles cherchent les fosses où elles se regroupent par centaines.



Régime alimentaire

Les jeunes brèmes se nourrissent essentiellement de plancton, tandis que les adultes fouillent inlassablement la vase sur une dizaine de centimètres de profondeur, à la recherche de vers, larves, mollusques, petits crustacés, débris végétaux...
Les pêcheurs ont pour l’habitude de dire que la brème a toujours la tête dans les nuages, car lorsqu’elle est en train de se nourrir, elle soulève une multitude de particules qui restent en suspension. Durant cette phase, elle prend une position quasi verticale, le corps penché vers l’avant et la tête dans le nuage !


Reproduction

La brème atteint la maturité sexuelle à l’âge de 3 ans pour les mâles et de 4 à 5 ans pour les femelles. La ponte se déroule au printemps, lorsque la température de l’eau atteint 12 à 16°C, dans une faible profondeur d’eau, au milieu des herbiers aquatiques, des racines ou sur les graviers du fond. Durant cette période tumultueuse, beaucoup de poissons se blessent et finissent par mourir. Les mâles portent de nombreux boutons de noce sur l’ensemble du corps. Chaque femelle pond de 30.000 à 40.000 œufs par kilo, qui éclosent au bout de 6 jours. A peine sont-elles nées, que beaucoup sont déjà sur le point de mourir. Car dans leurs premières années, les brèmes subissent de fortes prédations de la part de tous les carnassiers. La famille, nombreuse au départ, n’a de cesse de régresser. Ce n’est que lorsqu’elles dépassent les cinq cents grammes, que leur vie devient plus paisible !


Noms étrangers

Bream (anglais) ; Brachsen, Plattfisch (allemand) ; brema (italien) ; brasem (hollandais), deverika (croate).

Durée de vie : en moyenne 10 ans, jusqu’à 25 ans
Taille : en moyenne 35 cm, jusqu’à 60 cm
Poids : en moyenne 500 g, jusqu’à 3 kg

 


 
 
posté le 11-07-2008 à 21:30:46

LE GARDON

Rutilus Rutilus – Linné, 1758 Famille des Cyprinidés

Description

Le corps du gardon est légèrement aplati latéralement mais malgré tout allongé. Il est recouvert de grandes écailles brillantes au nombre de 42 à 45 sur la ligne latérale. La nageoire dorsale est située à l’aplomb des nageoires pelviennes. La caudale fine est nettement échancrée. La ligne latérale est très marquée.
Le dos est vert-bleu tandis que les flancs sont gris-argenté. Les nageoires pelviennes et anale sont jaune-orangé, les autres de couleur gris-brun. L’iris de l’œil du gardon est rouge.
Il existe une multitude d’hybrides de gardons avec des brèmes, ablettes ou rotengles chez qui la morphologie diffère sensiblement.



Habitat et mœurs

Le gardon est sûrement un des poissons les plus communs de l’ensemble des eaux européennes. Il se plaît partout où il trouve des secteurs suffisamment profonds pour qu’il puisse être en sécurité car il a de nombreux prédateurs. On le rencontre particulièrement dans les lacs, les étangs, les retenues de barrages mais aussi dans les rivières et fleuves, les bras morts... Il fréquente aussi les parties basses des rivières à truite. Il vit en banc serré composé d’individus de plusieurs générations. Il semble relativement bien supporter les eaux de médiocre qualité.



Régime alimentaire

Le gardon est capable de s’alimenter à toutes les hauteurs d’eau. Sur le fond il fouille le gravier, la vase et les herbiers afin d’y trouver des proies animales comme les vers de vase, larves d’insectes, mollusques... Mais il se nourrit également des jeunes pousses de végétaux, des débris, des algues et en été de la mousse ! Il peut à d’autres moments, surtout en été, gober en surface des insectes terrestres tombés accidentellement dans l’eau ou ceux en train d’éclore. Il ne dédaigne pas non plus le plancton surtout dans son plus jeune âge.


Reproduction

C’est entre avril et juin, lorsque la température de l’eau dépasse les 12°C, que se déroule la reproduction. Les gardons fraient sur les zones soit de végétation aquatique soit de graviers, dans tous les cas peu profondes, moins d’un mètre, et souvent situées près des berges. Toutes les femelles d’un même groupe pondent ensemble au même moment et au même endroit, chacune dépose de 5.000 à 100.000 ovules. Une dizaine de jours après avoir été fécondés, les œufs donnent naissance aux alevins. Certaines années particulièrement chaudes, les gardons se reproduisent deux à trois fois. La croissance des jeunes est lente et il leur faudra attendre souvent trois années et la taille de 15 cm pour à leur tour se reproduire !


Noms étrangers

Roach (anglais) ; plötze, furn (allemand) ; pigo, scardola (italien) ; bolla (espagnol) ; bodorka (croate).

Durée de vie : en moyenne 10 ans, jusqu’à 15 ans
Taille : en moyenne 20 cm, jusqu’à 40 cm
Poids : en moyenne 150 g, jusqu’à 1,5 kg

 


 
 
 

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